Bellancourt

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Bellancourt
Bellancourt
La mairie.
Blason de Bellancourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité CA de la Baie de Somme
Maire
Mandat
Annie Leplomb
2022-2026
Code postal 80132
Code commune 80078
Démographie
Gentilé Bellancourtois
Population
municipale
519 hab. (2021 en diminution de 0,57 % par rapport à 2015)
Densité 87 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 05′ 27″ nord, 1° 54′ 38″ est
Altitude Min. 38 m
Max. 95 m
Superficie 5,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Abbeville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Abbeville-1
Législatives 1re circonscription de la Somme
Localisation
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Bellancourt
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Bellancourt
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Bellancourt
Liens
Site web http://bellancourt-site-officiel.wifeo.com/

Bellancourt est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Bellancourt est un village picard du Ponthieu situé à 5 km au sud-est d'Abbeville, 35 km au nord-ouest d'Amiens.

Il est desservi par la départementale 1001 (ancienne RN 1). Le territoire communal est tangenté au sud par le tracé de l'autoroute A16 dont l'accès le plus proche est la sortie no 22 Abbeville-Est.

Depuis le , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 801 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Abbeville à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 806,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bellancourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Abbeville, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,4 %), prairies (9,3 %), zones urbanisées (7,7 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Le village comprend le hameau de Monflières, où se trouve la chapelle Notre-Dame-de-Monflières (datant du XIIe siècle) dédiée à la Vierge Marie et haut lieu de pèlerinage de Picardie, avec son parc Santa Maria et son calvaire du XVIIe siècle.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 219, alors qu'il était de 227 en 2014 et de 206 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 94,1 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 4,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,3 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bellancourt en 2019 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,4 %) inférieure à celle du département (8,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 92,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,2 % en 2014), contre 60,2 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Bellancourt en 2019.
Typologie Bellancourt[I 1] Somme[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 94,1 83,2 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,4 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 4,6 8,5 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Bellacourt (1070) ; Bellencurt (1134) ; Bellaincort (1184) ; Ballencort (1210) ; Bellencourt (1301) ; Bellancourt (1339) ; Belencourt (1710) ; Bellencour (1757) ; Belencour (1761)[13].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Selon la légende, vers le Xe siècle, un berger de Bellancourt faisait paître son troupeau à l’ombre d’un gros arbre situé entre Vauchelles et Monflières et destiné à servir de limite aux deux terroirs. Assis au pied de cet arbre, il vit et entendit le tronc qui s’entrouvrait et aperçut bientôt la figure de la Vierge qui se présentait dans l’ouverture[14]. Une chapelle, la chapelle Notre-Dame-de-Monflières, est édifiée vers 1160 et sert de lieu de pèlerinage marial[15].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Jusqu'au XIXe siècle, un relais de poste à chevaux existait à la sortie du village[16].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Abbeville du département de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Abbeville-Nord[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Abbeville-1

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Somme.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Bellancourt était membre de la communauté de communes de l'Abbevillois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération de la Baie de Somme dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1929 1995 Roger Pierrin    
mars 1995[18] mars 2008 Wilhem Demarcke    
mars 2008[19] avril 2014 Paul Gombart    
avril 2014[20] octobre 2022[21],[22] Brigitte Koch   Démissionnaire
décembre 2022[23] En cours
(au 18 décembre 2022)
Annie Leplomb   Retraitée des impôts

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école.

La communauté d'agglomération de la Baie de Somme gère les affaires scolaires du primaire.

À la rentrée de septembre 2022, après une réflexion engagée dès 2018, les écoles de Vauchelles-les-Quesnoy et Bellancourt s'organisent en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) afin d'éviter la perte d'une classe dans un contexte de baisse démographique[24],[25].

Avec des effectifs en 2022-2023 évalués à 126 élèves, dont 58 domiciliés à Bellancourt, trois classes sont installées à Bellancourt, quatre à Vauchelles[25].

L'école de Bellancourt est dotée d'une restauration scolaire[26].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 519 habitants[Note 3], en diminution de 0,57 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
260332404449461489491475433
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
432427414369384326296261288
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
281251242227245247247238247
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
246245287421480429488505521
2018 2021 - - - - - - -
512519-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Chapelle Notre-Dame-de-Monflières, inscrite aux Monuments historiques en 2021[14]. Dédiée à la Vierge, c'est un lieu important de pèlerinage en Picardie après l’apparition de l’image de Marie dans un orme à un berger.
    L'édifice est bâti en 1160 et agrandi trois fois au cours des siècles. À l'intérieur, elle dispose d'un décor de boiseries néogothiques de 1853 et des peintures murales de 1894 retraçant la légende de Monflières. Plus de 400 plaques de marbre offertes par les pèlerins guéris sont accrochées aux murs
    Elle possède un parc « Santa Maria » et un calvaire du XVIIe siècle[30].
    On lui attribue de nombreux miracles comme la naissance de la fille de Marie Antoinette, qui a offert à la Vierge de Monflières en 1778 une robe de drap d’or exposée dans la chapelle à l’occasion des Journées du Patrimoine, en remerciement de la naissance de sa fille Marie-Charlotte[31].
    L’orme qui se trouvait devant la chapelle de Monflières jusqu’en 1963 avait été classé comme un « arbre-chapelle » par un arrêté du 18 septembre 1926[14].
  • Ancien relais de poste aux chevaux.
  • Chapelle sur la route nationale. Sanctuaire construit au début du XXe siècle[30].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Bellancourt Blason
D'or au cheval passant de gueules ; au chef d'azur chargé d'un poisson d'argent.
Détails
Le cheval évoque celui qui a permis de récupérer, suivant la légende, la statue placée ensuite dans la chapelle, le poisson évoque les abbesses de Berteaucourt, propriétaires de la seigneurie[16]...
Le blason a été adopté en 2006.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Bellancourt » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Bellancourt - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Bellancourt - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Somme » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Bellancourt et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Abbeville », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 97 (lire en ligne sur DicoTopo) [1]
  14. a b et c Denis Desbleds, « La chapelle Notre-Dame-de-l’Annonciation de Monflières, à Bellancourt, inscrite aux Monuments historiques : La chapelle de Monflières, lieu de pèlerinage à l’Assomption, est désormais inscrite au titre des Monuments historiques, indique la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. « Une prière pour la vierge, une pensée pour l’histoire : Les cérémonies de l’Assomption ont attiré de nombreux croyants dans la Somme. Les fidèles ont célébré la montée au ciel de la Vierge Marie dans des lieux chargés d’histoire », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. a et b « Armorial de France/Bellancourt ».
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. « Wilhem Demarcke n'est plus », Courrier picard,‎ , p. 20.
  19. L'annuaire des maires, Supplément « 16 pages de trombinoscope » au Courrier picard du jeudi 27 mai 2008.
  20. Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 8 avril 2014, p. 10.
  21. Vincent Hery, « Brigitte Koch, maire de Bellancourt, a présenté sa démission : Des raisons personnelles justifieraient le souhait de l’édile de quitter le conseil municipal », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Brigitte Koch avait déjà présenté sa démission lors de la précédente mandature. Un courrier daté du 26 juin 2017 avait été adressé à la sous-préfecture pour faire part de son souhait de quitter ses fonctions ».
  22. Yann Defacque, « Démission du maire de Bellancourt : Brigitte Koch explique sa décision : Lassée de la politique, fatiguée après de gros problèmes de santé et préférant se consacrer aux siens, Brigitte Koch a démissionné de son poste de maire », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élue depuis 2014, la maire de cette commune de l’Abbevillois a malgré tout des satisfactions comme « le RPI (regroupement pédagogique intercommunal) qui donne satisfaction aux parents, enseignants et enfants. C’est, je pense, une réussite ».
  23. « Annie Leplomb élue maire de Bellancourt : Le conseil municipal s’est réuni vendredi 16 décembre 2022. Annie Leplomb, deuxième adjointe, prend le relais de Brigitte Koch, qui a démissionné », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Elle était la seule candidate ».
  24. Alexandra Mauviel, « L’agglo annonce le sauvetage de cinq des six classes menacées de fermeture en Picardie maritime : Le Comité technique spécial départemental (CTSD) s’est tenu lundi 8 février. Et les nouvelles sont bonnes d’après la Communauté d’agglomération de la baie de Somme, où des écoles devaient perdre des classes à Abbeville, Caours, Vauchelles-lès-Quesnoy et Arrest », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. a et b Vincent Hery, « Vauchelles-lès-Quesnoy et Bellancourt vont regrouper leurs écoles : Pour éviter de possibles fermetures de classe, les deux communes s’allient à travers un Regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec la bénédiction de la communauté d’agglomération de la baie de Somme, chargée de la gestion des affaires scolaires. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Olivier Bacquet, « Fermée depuis décembre, la cantine scolaire de Bellancourt peut rouvrir dès ce jeudi : Le bâtiment abritant la cantine avait été fermée en urgence après la découverte d'un problème entraînant "un danger réel et immédiat". Tout risque a finalement été écarté », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. a et b André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, éditeur : Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 56 (ASIN B000WR15W8).
  31. Dominique Delannoy, « Au sud d'Abbeville. La chapelle de Monflières a besoin de mécènes : Haut-lieu de pèlerinage en France, la chapelle de Monflières a besoin de travaux. Un habitant va se lancer dans la recherche de mécènes pour lui redonner du lustre », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).